Mythique, voici le mot qui va le mieux à ce jeu, à cette saga qu’est La Légende de Zelda. Mais petit retour en arierre … ou plutôt gros bon dans le passé.
Japon – Années 80
Shigeru Miyamoto, le Spielberg des jeux-vidéo, se remémore ses promenades d’enfant quand il habitait Kyoto. Ses lacs, ses forêts, ses villages campagnards et ses grottes mystérieuses. Un jour, alors qu’il était tout gosse, il découvrit une caverne au milieu des bois. Tout peureux qu’il était, il hésita à y entrer puis il se décida à l’explorer à l’aide d’une lanterne. Plusieurs années plus tard, il laissera faire cela à son double vidéo-ludique : Link, dont l’une des tâches les plus récurrentes sera d’explorer des cavernes.
Mais parlons un peu du jeu en lui-même. D’abord pourquoi ce titre ? Pourquoi appeler ce jeu La Légende de Zelda alors que le héros s’apelle Link ? Et bien parce que dès le début du jeu, le joueur peut choisir lui-même le nom du héros qu’il va incarner. Il n’est pas obligé de choisir Link comme nom.
Mais c’est qui cette Zelda alors ? Et bien Zelda est le nom de la princesse que Link (ou Tartampion si vous avez choisis ce nom) va devoir sauver.
Je sens que vous avez du mal à suivre, je vais donc commencer par le début …
Sinopsis du jeu :
Dans un royaume de paix nommé Hyrule, un artefact composé de trois fragments et se nommant la Triforce va attiser la convoitise du plus mauvais des sujets du seigneur local. Le Prince des Ténèbres, répondant au nom de Ganon, va réussir à s’emparer du fragment de « force » de la Triforce. Mais il n’allait pas en rester là. Afin de détenir la toute puissance, il se lança dans une quête afin de retrouver les deux autres fragments (la « sagesse » et le « courage »).
Le fragment de « sagesse » était détenu par la Princesse Zelda. Une jeune et jolie jeune fille reignant sur Hyrule. Sachant que Ganon allait vouloir s’emparer de son bien, elle décide de le diviser en huit morceau qu’elle dissimula aux quatres coins … ou plutôt aux huit coins, de la contrée d’Hyrule. Et c’est ensuite, qu’elle se fit capturée par Ganon.
Le dernier fragment de la Triforce, le « courage », était détenu par un jeune garçon (notre héros) répondant au nom de Link (ou Tartampion si vous avez tout suivis depuis le début). Ce jeune fou … pardon, ce jeune garçon, va partir à la recherche des huit fragment de la Triforce de la « sagesse » et accessoirement va également tenter de sauver la Princesse qui est prisonnière dans la Montagne de la Mort (nom sympatique hein ?)
Ce que l’ont peu surtout dire sur ce jeu, et qu’il va révoltionner en son temps les jeux vidéo :
– il est le précursseur des sauvegarde sur la cartouche du jeu elle-même. Si mes souvenirs sont bon, avant lui, on devait noter un code après chaque niveau pour reprendre là ou on avait arrêter notre partie précédente.
– le scénario, bien que linéaire voir même « cul-cul la praline », permet au personnage de se déplacer à son grè dans un environnement en 2D vue du dessus, plutot qu’une 2D à la Mario où l’on va partir de la gauche de l’écran pour marcher sans cesse vers la droite. Dans Zelda, la vue du dessus permettra de se déplacer horizontalement et verticalement, ce qui fit un des succès du jeu également.
Partager la publication "[Rétro-Game] The Legend of Zelda (NES)"
En réalité la Triforce du Courage n’apparaît que dans le deuxième épisode, Zelda II : The Adventure of Link ; ce n’est qu’à partir de Zelda 64 – Ocarina of Time que la Triforce du Courage est associée à Link.
Effectivement, je ne l’ai pas préciser, c’était juste pour donner toutes les cartes 😀