SEGA, c’est plus fort que la nostalgie ?

Nintendo se lançait dans la vague retro-gaming, il y a de cela quelques jours, en annonçant la sortie de sa mini-NES fin 2016 (à lire ici). Et bien son concurrent historique SEGA emboîte le pas en annonçant, pendant la Comic Con de San Diego, la sortie d’une Mega Drive mini.

La console embarquera 80 jeux pré-installés du catalogue retro, dont par exemple Mortal Kombat, Golden Axe ou Sonic, mais sera équipée également d’un port cartouche pour lire vos anciens jeux Mega Drive.

Mais comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, la firme japonaise annonce également une console portable, équipée elle d’un lecteur de carte SD qui permettra d’embarquer des ROM Mega Drive.

MegaDrivePortable

Concernant le prix, SEGA parle de 60€ pour chaque console et qu’elles seront disponibles en octobre prochain !

Cette annonce intervient alors que la tête de gondole de SEGA, le véloce hérisson Sonic, fête ses 25 années d’existence, avec une sortie annoncée de « Sonic Mania pour » 2017 sur les consoles nouvelles générations.

MarioSonic

Avis donc aux nostalgiques, la fin d’année 2016 sera retro ou ne sera pas. Entre Nintendo et SEGA, comme dans les années 80-90, le choix sera à faire !

NES : the comeback

Sans doute bien conscient que le retrogaming est devenu bien plus qu’une mode, le géant japonais des jeux vidéo a décidé de remettre au goût du jour sa légendaire NES.

Arrivée officiellement le 27 octobre 1987 sur les étals français, la console va donc faire son grand retour, presque trente années après sa sortie, et pour sûr, elle devrait ravir les nostalgiques et conquérir de nouveaux fans désireux de découvrir une autre façon de jouer. Les trentenaires (et plus) vont ainsi retrouver certains des jeux qui ont bercé leur enfance, tandis que les jeunes générations pourront découvrir les héros qui ont contribué à la popularité des jeux-vidéo dans le monde. C’est donc un bon pari pour Nintendo qui ne se lance pas à l’aveugle, sur un marché faisant de plus en plus la part belle au retrogaming.

Pour ceux qui pensent que je parle dans une autre langue, qu’est-ce que la NES ? Et bien, c’est une console de salon de troisième génération qui a vraiment lancé l’âge d’or de Nintendo dans les années 80. Ce nouvel opus, qui va être en vente aux alentours de novembre 2016, portera le doux nom de Nintendo Classic Mini : Nintendo Entertainment System. Son design reprend les traits de l’ancienne NES à ceci prêt qu’elle pourra tenir dans une main.

Concernant les caractéristiques de la console, rien n’a laissé filtré et on ne sait pas si elle aura celles de 1986 ou si elle a été boosté. Par contre, elle sera bien encrée dans le présent avec des connectiques HDMi et USB (qui servira pour l’alimentation). A noter qu’il faudra se procurer un adaptateur secteur pour brancher le câble USB car il ne sera pas comprit dans le pack console.

Concernant les jeux, ils seront intégrés dans la console et nous pourrons faire revivre nos souvenirs ou en créer de nouveaux sur 30 opus Nintendo.

Pour finir, la console est donc attendu pour le mois de novembre 2016 et sera présentée au prix de 60 $ avec une manette Nintendo Classic Mini : NES. Pour une manette supplémentaire, il faudra compter 10 $ de plus. Donc on peut tabler sur une conversion des prix en 1 pour 1 et avoir un pack complet avec deux manettes pour 70 €.

Source Nintendo.fr

[Rétro-Game] Baldur’s Gate

Laissez moi aujourd’hui vous présenter l’un des meilleurs jeux de rôle que les PC du monde on eu la chance de voir résider sur leur jolie disque dur : Baldur’s Gate. Loin des systèmes de jeux de son époque, style Diablo, qui étaient orientés action et sans scénario à proprement parler, le monde de Baldur’s Gate possède une trame bien dessinée et une histoire captivante. Mais sans plus tarder, entrons dans le jeu …

Le Jeu :

Baldur’s Gate est un jeu de rôle utilisant le système ‘Advanced Dungeon & Dragons’ (AD&D pour les intimes) dans l’univers des Royaumes Oubliés. Le monde dans lequel on évolue est de l’heroic fantasy vivante, où chaque personnages non-joueur (PNJ) évolue à sa guise. Les hommes et femmes que l’on rencontre vivent leur vie, s’adresse à vous cordialement ou au contraire tentent de vous dérouiller. Un système de jour et de nuit défile sans relâche. On retrouve également une multitude de monstres tantôt faibles, tantôt fort, qui essaieront à chaque fois de vous tuer.

Ce jeu applique donc toutes les règles du célèbre Advanced Dungeons & Dragons, le jeu de rôle « classique ».

Synopsis du jeu :

Vous incarnez un orphelin qui a été élevé à Château-Suif, ville bibliothèque côtière, par un puissant magicien nommé Gorion. Sans plus de détail, votre père adoptif et vous partez en tout hâte par une nuit d’automne afin d’échapper à des assassins. Ainsi, accompagné de Gorion, vous quittez Château-Suif pour l’inconnu. Mais peu de temps après votre départ, un homme maléfique et son escorte vous attaquent et tuent Gorion après un âpre combat (de sa part bien sûr vu que vous avez détalé comme un lapin). Suite à ce combat, vous êtes seul dans ce monde impitoyable avec pour seul bagage les quelques breloques que vous avez réussis à acheter à Château-Suif avant votre départ.

Cliquez sur l’image pour voir la carte du jeu

Conclusion :

Comme pour tout, Baldur’s Gate a quelques petits défauts. Mais l’histoire dans laquelle le jeu prend place est vraiment prenante. De plus, il était vraiment un bijou à cette époque sur le point de vu graphismes, et sur sa musique qui est très belle. Il était annoncé à sa sortie comme le meilleur jeux de rôle jamais créé sur PC, et après bien des tentatives de copie, de plagia ou autre, la série de Baldur’s Gate reste encore à ce jour une référence dans le domaine.

[Rétro-Game] Tetris

Dans la catégorie « armes de destructions massives », je demande le jeu Tetris !
Jeu de puzzle inventé et conçu par un russe en 1984, le dénommé Alekseï Leonidovitch Pajitnov (à vos souhait !), Tetris reste et restera l’un des plus grands classiques de l’histoire du jeu vidéo.
 
Le principe du jeu est simple, on doit empiler des pièces de couleurs (parfois notament sur GameBoy il n’y en avait pas) et de formes différentes qui descendent du haut de l’écran afin de construire un mur (celui de Berlin ?). Aucune possibilité d’arrêter ou de ralentir la chute, mais pour les plus désespérer ou plus fou des joueurs, on pouvait l’accélérer. Durant cette chute vertigineuse, s’offrait à nous la possibilité de décider de l’angle de rotation de la pièce et de choisir son emplacement dans le mur.
Mais me direz-vous, au bout d’un moment on va toucher le haut de l’écran. Et bien c’est là que prend toute l’ampleur de ce jeu. Afin de ne pas toucher le haut de l’écran, et de fait de ne pas perdre la partie, il fallait arriver à compléter des lignes horizontales (sans aucun trou) afin de faire disparaître celle-ci et de faire descendre d’autant de cran que de lignes construire notre mur.
Plus on avançait dans les niveaux et plus les blocs allaient vite … sinon ce serait trop facile.
 
Les blocs (sovétiques) du jeu :
Ils sont au nombre de sept et sont tous formés sur la base de l’assemblage de quatre blocs.

Les sept pièces sont les suivantes :

  • Tetris-I.svg, forme I, aussi appelée « bâton », « ordinaire », « barre » ou « long ». Elle est constituée de quatre carrés formant une ligne.
  • Tetris-o.png, forme O, aussi appelée « carré » ou « bloc ». Elle est constituée de quatre carrés formant un méta-carré de 2×2.
  • Tetris-t.png, forme T. Elle est constituée de trois carrés en ligne et d’un quatrième carré sous le centre.
  • Tetris-l.png, forme L. Elle est constituée de trois carrés en ligne et d’un quatrième carré sous le côté gauche.
  • Tetris-j.png, forme J, aussi appelée « L inversé » ou « gamma ». Elle est constituée de trois carrés en ligne et d’un quatrième carré sous le côté droit.
  • Tetris-z.png, forme Z, aussi appelée « biais ». Elle est constituée de quatre carrés formant un méta-carré de 2×2, dont la rangée supérieure est glissée d’un pas vers la gauche.
  • Tetris-s.png, forme S, aussi appelée « biais inversé ». Elle est constituée de quatre carrés formant un méta-carré de 2×2, dont la rangée supérieure est glissée d’un pas vers la droite.
source Wikipédia
 Le jeu a été décliné sous bien des formes et sur bien des plateformes de jeu, que ce soit la borne d’arcade, la console portable, de salon ou encore sur ordinateur. Il en existe bien des variantes, et même bien des « enfants » le jeu donnant des idées à d’autres concepteurs qui le déclinèrent à leur façon comme par exemple pour « Puzzle Bubbble » entre autres.
Pour finir, voici une vidéo d’un des « dieux » du Tetris

[Rétro-Game] The Legend of Zelda (NES)

Mythique, voici le mot qui va le mieux à ce jeu, à cette saga qu’est La Légende de Zelda. Mais petit retour en arierre … ou plutôt gros bon dans le passé.

Japon – Années 80

Shigeru Miyamoto, le Spielberg des jeux-vidéo, se remémore ses promenades d’enfant quand il habitait Kyoto. Ses lacs, ses forêts, ses villages campagnards et ses grottes mystérieuses. Un jour, alors qu’il était tout gosse, il découvrit une caverne au milieu des bois. Tout peureux qu’il était, il hésita à y entrer puis il se décida à l’explorer à l’aide d’une lanterne. Plusieurs années plus tard, il laissera faire cela à son double vidéo-ludique : Link, dont l’une des tâches les plus récurrentes sera d’explorer des cavernes.

Mais parlons un peu du jeu en lui-même. D’abord pourquoi ce titre ? Pourquoi appeler ce jeu La Légende de Zelda alors que le héros s’apelle Link ? Et bien parce que dès le début du jeu, le joueur peut choisir lui-même le nom du héros qu’il va incarner. Il n’est pas obligé de choisir Link comme nom.

Mais c’est qui cette Zelda alors ? Et bien Zelda est le nom de la princesse que Link (ou Tartampion si vous avez choisis ce nom) va devoir sauver.
Je sens que vous avez du mal à suivre, je vais donc commencer par le début …
Sinopsis du jeu :
Dans un royaume de paix nommé Hyrule, un artefact composé de trois fragments et se nommant la Triforce va attiser la convoitise du plus mauvais des sujets du seigneur local. Le Prince des Ténèbres, répondant au nom de Ganon, va réussir à s’emparer du fragment de « force » de la Triforce. Mais il n’allait pas en rester là. Afin de détenir la toute puissance, il se lança dans une quête afin de retrouver les deux autres fragments (la « sagesse » et le « courage »).

Le fragment de « sagesse » était détenu par la Princesse Zelda. Une jeune et jolie jeune fille reignant sur Hyrule. Sachant que Ganon allait vouloir s’emparer de son bien, elle décide de le diviser en huit morceau qu’elle dissimula aux quatres coins … ou plutôt aux huit coins, de la contrée d’Hyrule. Et c’est ensuite, qu’elle se fit capturée par Ganon.

Le dernier fragment de la Triforce, le « courage », était détenu par un jeune garçon (notre héros) répondant au nom de Link (ou Tartampion si vous avez tout suivis depuis le début). Ce jeune fou … pardon, ce jeune garçon, va partir à la recherche des huit fragment de la Triforce de la « sagesse » et accessoirement va également tenter de sauver la Princesse qui est prisonnière dans la Montagne de la Mort (nom sympatique hein ?)

Ce que l’ont peu surtout dire sur ce jeu, et qu’il va révoltionner en son temps les jeux vidéo :
– il est le précursseur des sauvegarde sur la cartouche du jeu elle-même. Si mes souvenirs sont bon, avant lui, on devait noter un code après chaque niveau pour reprendre là ou on avait arrêter notre partie précédente.
– le scénario, bien que linéaire voir même « cul-cul la praline », permet au personnage de se déplacer à son grè dans un environnement en 2D vue du dessus, plutot qu’une 2D à la Mario où l’on va partir de la gauche de l’écran pour marcher sans cesse vers la droite. Dans Zelda, la vue du dessus permettra de se déplacer horizontalement et verticalement, ce qui fit un des succès du jeu également.

[Rétro-Game] Super Mario Kart (SNES)

Il est des jeux qu’on oubli bien rapidement. On les teste, on les aime, puis on les boude et on les laisse pourrir dans un coin. Mais d’autres jeux n’ont pas cette malchance. Ils font partis de ceux auxquels on veut rejouer encore et encore, seul ou entre amis. Je parle bien entendu de MARIO KART premier du nom. Mais mettons nous un peu dans le contexte.
Nous sommes en 1993 (à peu près) et je viens de me payer Super Mario Kart. De ce que j’en avais entendu dire, il était un des meilleurs jeux du moment. Et bien soit, je m’en vais tester cela. Première impression : est-ce que mon petit cousin qui est en maternelle a réalisé les dessins du jeu ??? Ce fut un choc pour moi, 400 francs et des brouettes pour avoir ça ? La pression retomba une fois le jeu lancé …
On commence par la sélection de son mode de course, au début simplement 50cc et 100cc. Non nous ne sommes pas dans « Urgences« , ce ne sont pas des centimètres cubes d’atropine mais des centimètre cube version sport motorisé. Ou si on veut le résumer donc, mode débutant et mode intermédiaire. Ensuite, le choix du personnage s’impose à nous :
Et Vrouuuuuum on peut commencer la course !!!
Comme vous pouvez le constater, l’écran était divisé en deux parties horizontales. En haut, votrre personnage ainsi que ce qu’il voit. En bas, un carte représentant le niveau. Tout au long du parcours, vous pouvez récupérer des petites pièces jaunes qui vous feront avancer plus vite, mais également des cadeaux bonus renfermant des carapaces ou autres qui vont aide à remporter les courses.
L’un de mes modes préférés dans ce jeu était sans conteste le battle mode. Entouré de 3 ballons, vous deviez parcourir une carte à la recherche de votre ou vos adversaire(s) et leur enlever leurs ballons avant de perdre tous les votres. Ce mode reste et restera dans tous les Mario Kart suivant mon préféré car il permet de bien rigoler autour de la console avec ses amis.
Je ne serais pas complet si je ne parlais pas des « excellente » musique de ce jeu. Pleines d’entrains, elles étaient également différentes sur chaque niveau de jeu, nouvelles à chaque course rendant ce jeu culte aux yeux de beaucoups de personnes dont moi.
Si l’on suit la chronologie des Mario Kart, celui-ci fut donc le premier à voir le jour en 1992.
Puis arriva ,en 1997, Mario Kart 64 qui révolutionna encore plus genre. La possibilité de brancher 4 manettes sur la Nintendo 64 aidant aisément le phénomène.
En 2001, la Game Boy Advance hérita de son Mario Kart à son tour avec Super Circuit. Il passa presque inaperçu dans notre pays du fait du faible nombre de GBA vendu en France.
En 2003, la Game Cube va nous pondre Mario Kart : Double Dash, où le pilote se voit scotché derierre lui un autre personnage qui lui va balancer les carapaces et autres peaux de banane sur leurs malheureux adversaires.
En 2005, c’est au tour de la Nintendo DS d’entrer dans le marché du karting avec Mario Kart DS.
Et enfin, le tout dernier en date, Mario Kart Wii. Sortie en 2008, il fait encore évoluer la franchise avec la possibilité, entre autres, de piloter des motos, de conduire avec un volant …
Mario Kart est donc une série de jeu incontournable à tous possesseurs d’une console Nintendo. La seule chose que l’on pourrait dire dessus pour terminer et que ce jeu nuit gravement à l’ennui 😉

[Rétro-Game] SimCity

Qui n’a pas rêvé un jour de devenir le maître du monde et de pouvoir tenir dans ses mains la vie et la destinée de nombre de personnes ? Vous l’avez demandé ? Will Wright l’a fait !

Alors que ce natif d’Atlanta développe un jeu d’hélicoptère, il prend tellement de plaisir à imaginer les villes en arrière fond, qu’il a l’idée de développer un jeu qui prendrais pour thème la construction et la gestion de villes entières. Et c’est ainsi que va naître SimCity. A l’époque, ce jeu est révolutionnaire. Outre d’être le premier du genre, il s’agit d’un jeu sans fin et où les scénario ne sont pas prévus à l’avance étant donné que chaque joueur va influer dessus et en changer à l’infini.

C’est en 1989 que le jeu arrivera sur le marché. Le but est simple, créer sa ville et la gérer en tant que maire. Vos administrés devront payer leurs impôts, et quant au maire, il se doit de réer les infrastructures qui permettront à sa cité de se dévelloper.

C’est la naissance d’une saga qui se verra décliner en plusieurs exemplaires et qui engrangera des millions de part ses ventes importantes.

Voici la chronologie de la saga (source Maxis) :

  • 1989, SimCity : jeu aux fonctions basiques (en 2D et 16 couleurs)
  • 1993, SimCity 2000 : apporte une 3D isométrique et des graphismes nettement améliorés avec l’apparition du relief.
  • 1999, SimCity 3000 : développement de nouvelles fonctions à gérer. Les assistants prennent une touche « cartoon » très sympatique.
  • 2000, SimCity 3000 (édition mondiale) : version agrémentée de styles architecturaux du monde entier, ainsi que d’un éditeurs pour créer ses bâtiments et scénario.
  • 15 janvier 2003, SimCity 4 : simulation plus poussée avec une gestion d’une région entière et l’interaction de plusieurs villes
  • 26 septembre 2003, SimCity 4 (Rush Hour) : disque additionnel orienté sur les transports, avec plus de modes de transport ainsi qu’une gestion du trafic et de ses heures de pointe.
  • 15 novembre 2007 : de SimCity Societies

Et voici l’évolution du logo du jeu au fil des années :

 
Beaucoups de City-Builder ont par la suite copié, ou se sont inspiré de SimCity comme notament la série des Caesar qui reprend les principes du jeu à l’époque de la Rome Antique, ou encore Pharaon qui comme son nom l’identique met en scène l’Egypte Ancienne. D’autres suivirent dans d’autres civilisations.
Plus récemment, le concept du jeu est devenu propriété publique (licence GNU GPL), ce qui a permis à plusieurs développeur de créer leur SimCity comme Lincity, ou encore Micropolis qui est LA version « libéré » de SimCity (le nom ayant été changé car il reste propriété de Maxis).

[Rétro-Game] Duck Hunt (NES)

Avec un jour de retard, voici le rétro.game de la semaine. Une fois encore, c’est la firme Nintendo qui est à l’honneur. Qui n’a pas rêver un jour de partir à la chasse sans pour autant faire du mal aux petites bébettes qu’il allait rencontré ? Et bien, vous l’avez rêvé, Nintendo l’a fait.

Tous ces petits canard qui passaient devant votre écran et que vous rêviez de tuer, cela ne vous rapelle rien ? Ce chien à l’aboiement soporiphique et aux mouvement éternellement identique, cela ne vous rapelle rien ? Je suis sur que si …

Duck Hunt, un jeu qui permettait de regrouper une famille devant une console de salon, même ceux qui étaient les plus réfractaires et qui ne comprennaient rien à la technologie. De mémoire personnelle, il a fallu attendre 20 ans pour que je revois mes parents tester un jeu vidéo. 20 ans ? Et oui, c’est la durée séparant Duck Hunt de la sortie de la Wii. Nintendo a vraiment le chic non seulement d’innover, mais également de donner l’envie aux plus réfractaires de par ses concepts toujours aussi ingénieux.

Je vous laisse maintenant devant ces quelques images du jeu mais également devant cette petite vidéo qui ravira les plus nostalgique.

*Quel bel écran de démarrage

*On va l’choper le vilain canard !

Et pour finir, voici à quoi ressemblait le niveau 100 du jeu. Tout simplement IMPOSSIBLE à tuer ces canards grâce à un bug intervenant sur le niveau 100.

[Rétro-Game] Dragon Ball Z – Ultime Menace (SNES)

Repensons encore à la Super Nintendo, si il y a bien un jeux que je jouais chez un ami a l’époque, c’était Dragon Ball Z – Ultime Menace. Le troisième opus de la saga DBZ sur cette console selon moi.
Je n’ai pas jouer aux autres, mais perso j’aimais bien.

Je me souviens que durant la scène d’introduction ou on voit Vegeta puis Snagoku, on pouvait apouyer sur plusieurs boutons et cela activait un « cheat », on activait Trunk en adulte.

* Vidéo du test du jeu :

Pour le prochain rétro-game, je vais tenter de trouver un jeux non Nintendo si vous faites une overdose 😉

[Snega2USB] Le lecteur USB pour cartouches SuperNES et MegaDrive

En me baladant sur les nouveaux articles de mes sites préférés, je suis tomber sur cette vidéo.
Je suis reste scotchée durant toute la durée de la démo.

En gros, Snega2USB est le nom du code pour le prototoype d’un lecteur USB capable de lire les cartouches de jeux SuperNintendo et MegaDrive (Genesis) et vous permettant donc de jouer a ces vieux jeux depuis votre PC.
Le lecteur inclus la possibilité de sauvegarder et de reprendre une partie.

Un prototype industriel est sorti aujourd’hui et peut etre que dans plusieurs mois, une version commerciale verra le jour.

source: http://www.snega2usb.com/