12 ème Journée Mondiale du Bégaiement

« ÊTRE BÈGUE, C’EST PLUS QUE BÉGAYER »

En surface, on observe dans le bégaiement un ou plusieurs types de dysfluences, plus communément appelés bégayages : des répétitions de syllabes, de mots ou de groupes de mots, des blocages, des prolongations de sons, des mots d’appui, des mouvements involontaires (tics grimaces…). L’interlocuteur d’une personne qui bégaie peut aussi remarquer des crispations, des halètements respiratoires, l’évitement ou la fixité du regard…

L’interlocuteur, lui-même gêné par ces marques visibles du comportement d’effort de parole, ignore le plus souvent ce que la personne qui bégaie peut ressentir au moment de l’échange. Cette partie invisible du bégaiement, ce que ressent la personne qui bégaie, quand elle essaie de communiquer, est de loin la plus importante.

Le bégaiement est comme un iceberg

il y a près de 40 ans, Joseph G. Sheehan (1918-1983), orthophoniste, psychologue clinicien, professeur à l’UCLA (USA) et lui-même atteint par le bégaiement, a proposé cette image.

« Le bégaiement est comme un iceberg, avec seulement une petite partie au-dessus de la flottaison et une partie beaucoup plus importante au-dessous. »*

En cette 12ème Journée Mondiale du Bégaiement, le thème de la journée est « Etre bègue, c’est plus que bégayer ».

je ne parle pas beaucoup du bégaiement sur ce blog, mais une fois par an j’ai coutume de faire un petit article en cette occasion.

Pourquoi ?
Parce que bégayer n’est pas une maladie, ce n’est pas le SIDA ou encore un cancer, ça ne tue pas des milliers de personnes par an, mais ça en handicape le même nombre. Le problème majeur est la confiance en soi, comment avoir confiance en soi lorsque l’on arrive pas à alligner 3 mots sans trébucher et moins on a confiance en soi, plus l’on bégaiera.

Ne pas dire ce que l’on pense, quand on le veux, c’est vraiment génant mais il faut vivre avec et apprendre a gérer son ami/ennemi qui est le Bégaiement.

Donc je souhaite une bonne JMB à tous ceux qui partage ce petit ‘handicap’.

[Rétro-Game] The Legend of Zelda (NES)

Mythique, voici le mot qui va le mieux à ce jeu, à cette saga qu’est La Légende de Zelda. Mais petit retour en arierre … ou plutôt gros bon dans le passé.

Japon – Années 80

Shigeru Miyamoto, le Spielberg des jeux-vidéo, se remémore ses promenades d’enfant quand il habitait Kyoto. Ses lacs, ses forêts, ses villages campagnards et ses grottes mystérieuses. Un jour, alors qu’il était tout gosse, il découvrit une caverne au milieu des bois. Tout peureux qu’il était, il hésita à y entrer puis il se décida à l’explorer à l’aide d’une lanterne. Plusieurs années plus tard, il laissera faire cela à son double vidéo-ludique : Link, dont l’une des tâches les plus récurrentes sera d’explorer des cavernes.

Mais parlons un peu du jeu en lui-même. D’abord pourquoi ce titre ? Pourquoi appeler ce jeu La Légende de Zelda alors que le héros s’apelle Link ? Et bien parce que dès le début du jeu, le joueur peut choisir lui-même le nom du héros qu’il va incarner. Il n’est pas obligé de choisir Link comme nom.

Mais c’est qui cette Zelda alors ? Et bien Zelda est le nom de la princesse que Link (ou Tartampion si vous avez choisis ce nom) va devoir sauver.
Je sens que vous avez du mal à suivre, je vais donc commencer par le début …
Sinopsis du jeu :
Dans un royaume de paix nommé Hyrule, un artefact composé de trois fragments et se nommant la Triforce va attiser la convoitise du plus mauvais des sujets du seigneur local. Le Prince des Ténèbres, répondant au nom de Ganon, va réussir à s’emparer du fragment de « force » de la Triforce. Mais il n’allait pas en rester là. Afin de détenir la toute puissance, il se lança dans une quête afin de retrouver les deux autres fragments (la « sagesse » et le « courage »).

Le fragment de « sagesse » était détenu par la Princesse Zelda. Une jeune et jolie jeune fille reignant sur Hyrule. Sachant que Ganon allait vouloir s’emparer de son bien, elle décide de le diviser en huit morceau qu’elle dissimula aux quatres coins … ou plutôt aux huit coins, de la contrée d’Hyrule. Et c’est ensuite, qu’elle se fit capturée par Ganon.

Le dernier fragment de la Triforce, le « courage », était détenu par un jeune garçon (notre héros) répondant au nom de Link (ou Tartampion si vous avez tout suivis depuis le début). Ce jeune fou … pardon, ce jeune garçon, va partir à la recherche des huit fragment de la Triforce de la « sagesse » et accessoirement va également tenter de sauver la Princesse qui est prisonnière dans la Montagne de la Mort (nom sympatique hein ?)

Ce que l’ont peu surtout dire sur ce jeu, et qu’il va révoltionner en son temps les jeux vidéo :
– il est le précursseur des sauvegarde sur la cartouche du jeu elle-même. Si mes souvenirs sont bon, avant lui, on devait noter un code après chaque niveau pour reprendre là ou on avait arrêter notre partie précédente.
– le scénario, bien que linéaire voir même « cul-cul la praline », permet au personnage de se déplacer à son grè dans un environnement en 2D vue du dessus, plutot qu’une 2D à la Mario où l’on va partir de la gauche de l’écran pour marcher sans cesse vers la droite. Dans Zelda, la vue du dessus permettra de se déplacer horizontalement et verticalement, ce qui fit un des succès du jeu également.

La WII noire disponible en Europe le 20/11/2009

Le 20 Novembre 2009 sortira la Wii de couleur noire en Europe. Elle est disponible au Japon depuis courant Août.

Elle sera vendue avec un pack contenant :
* La WII ^_^
* 1 Wiimote
* 1 Nunchuck
* 1 Wii Motion Plus
* Wii Sport
* Wii Sport resort

A noter que tous les accessoires sont en noir. Par contre le prix n’est pas encore indiquer.

A quand une Wii rose ?

[Kitch] Allan Theo – Emmène moi

Ahh … L’époque des Boys Band, tout le monde se souvient des groupes ‘mytique’ comme Alliage, World’s Appart, 2B3 … Et bien il y avait en même temps la vague ‘Beau Gosse’.
Allan Théo, le beau brun juvénile, sortie en Janvier 1998 un single intitulé « Emmène moi ».

Tout comme la majeur partie des chansonc de l’époque, les paroles sont composés d’Anglais et de Français. En voici un petit extrait pour vous mettre en condition :

J’ai posé ces quelques mots
Sur les notes du piano
Pour les souffler jusqu’à toi
A little song for you

Un autre jour, another day
Une autre histoire, another way
N’importe où quand tu t’en vas
Si ma voix peut guider tes pas

Je vous invite a regarder la vidéo karaoké qui j’espère … vous emmènera …. :

Petite apparté : en réalisant ce billet, j’ai été etonnée sur le nombre de sites de fan (hystérique?!) consacrée à ce chanteur.
En voici un petit florilège :
http://talentueuxallantheo.free.fr/
http://coraline01.chez-alice.fr/
http://membres.lycos.fr/allantheo72/

[Musique] Alexi Murdoch – Breathe

Une fois n’est pas coutume, je vais vous faire partager un coup de coeur musical. Il est tout frais, tout récent, étant donné que je viens de découvrir cette chanson dans l’épisode 3 de la nouvelle série de la franchise Stargate (Stargate Universe).

Il s’agit de « Breathe » du chanteur londonien Alexi Murdoch, titre tiré de l’album « Time Without Consequence » sorti en 2006. Les paroles sont plutôt sympatique, bien que « dark » et la musique est super sympa. Je vous laisse donc découvrir ceci :

Et voici les paroles :
In the quiet of the shadow
In the corner of a room
Darkness moves upon you
Like a cloud across the moon

You’re a-wearing all the silence
Of a constant that will turn
Like the windmill left deserted
Or the sun forever burn

So don’t forget to breathe
Don’t forget to breathe
Your whole life is here
No eleventh hour reprieve
So don’t forget to breathe

Keep your head above water
But don’t forget to breathe

And all the suffering that you’ve witnessed
And the hand prints on the wall
They remind you how it’s endless
How endlessly you fall

And the answer that you’re seeking
For the question that you found
Drives you further to confusion
As you lose your sense of ground

So don’t forget to breathe
Don’t forget to breathe
Your whole life is here
No eleventh hour reprieve
So don’t forget to breathe

Keep your head above water
But don’t forget to breathe

Breathe….

Don’t forget to breathe
Don’t forget to breathe
You know you are here
But you find you want to leave
So don’t forget to… breathe

Just breathe
Just breathe
Just breathe…
Just breathe…
Just breathe…

Volery / Ninite : Installer en un clic tous ces logiciels préférés

On a tous du résintaller son PC au moins une fois dans sa vie, oui voir beaucoup plus. Il fallait donc s’armer de patience, lister tous les logiciels à installer, rechercher sur internet la dernière version de ces logiciels et enfin … les installer un à un. Que de temps perdu !

Un service en ligne vient de voir le jour : Volery. Le but de cet outil est d’automatiser le téléchargement et l’installation des logiciels souhaités. Le tout effectuer en ‘un clic’.

Volery comporte une liste de logiciels les plus connus et utilisés, il suffit de cocher ceux que l’on souhaite installer puis de cliquer sur le bouton « Get Installer ».

Le service s’occupera alors de :
– Télécharger la dernière version du logiciel
– Exécuter les fichiers d’installations
– Refuser automatiquement l’installer de spyware et de toolbar
– Sélectionner l’installation par défaut
– Répondre aux fenêtres d’installation

Volery en est à sa phase de Béta privée donc pour l’utiliser il faudra utiliser le code d’invitation « businessgarden ».

Si le logiciel souhaité n’est pas dans la liste, vous pouvez également remplir un formulaire pour y proposer votre suggestion.

Pour ma part, je me garde ce petit service web sous le coude ;-).

source: business-garden

28-10-2009 – Update :

Volery a été renommé en Ninite et n’est plus en phase béta 😉

[Rétro-Game] Super Mario Kart (SNES)

Il est des jeux qu’on oubli bien rapidement. On les teste, on les aime, puis on les boude et on les laisse pourrir dans un coin. Mais d’autres jeux n’ont pas cette malchance. Ils font partis de ceux auxquels on veut rejouer encore et encore, seul ou entre amis. Je parle bien entendu de MARIO KART premier du nom. Mais mettons nous un peu dans le contexte.
Nous sommes en 1993 (à peu près) et je viens de me payer Super Mario Kart. De ce que j’en avais entendu dire, il était un des meilleurs jeux du moment. Et bien soit, je m’en vais tester cela. Première impression : est-ce que mon petit cousin qui est en maternelle a réalisé les dessins du jeu ??? Ce fut un choc pour moi, 400 francs et des brouettes pour avoir ça ? La pression retomba une fois le jeu lancé …
On commence par la sélection de son mode de course, au début simplement 50cc et 100cc. Non nous ne sommes pas dans « Urgences« , ce ne sont pas des centimètres cubes d’atropine mais des centimètre cube version sport motorisé. Ou si on veut le résumer donc, mode débutant et mode intermédiaire. Ensuite, le choix du personnage s’impose à nous :
Et Vrouuuuuum on peut commencer la course !!!
Comme vous pouvez le constater, l’écran était divisé en deux parties horizontales. En haut, votrre personnage ainsi que ce qu’il voit. En bas, un carte représentant le niveau. Tout au long du parcours, vous pouvez récupérer des petites pièces jaunes qui vous feront avancer plus vite, mais également des cadeaux bonus renfermant des carapaces ou autres qui vont aide à remporter les courses.
L’un de mes modes préférés dans ce jeu était sans conteste le battle mode. Entouré de 3 ballons, vous deviez parcourir une carte à la recherche de votre ou vos adversaire(s) et leur enlever leurs ballons avant de perdre tous les votres. Ce mode reste et restera dans tous les Mario Kart suivant mon préféré car il permet de bien rigoler autour de la console avec ses amis.
Je ne serais pas complet si je ne parlais pas des « excellente » musique de ce jeu. Pleines d’entrains, elles étaient également différentes sur chaque niveau de jeu, nouvelles à chaque course rendant ce jeu culte aux yeux de beaucoups de personnes dont moi.
Si l’on suit la chronologie des Mario Kart, celui-ci fut donc le premier à voir le jour en 1992.
Puis arriva ,en 1997, Mario Kart 64 qui révolutionna encore plus genre. La possibilité de brancher 4 manettes sur la Nintendo 64 aidant aisément le phénomène.
En 2001, la Game Boy Advance hérita de son Mario Kart à son tour avec Super Circuit. Il passa presque inaperçu dans notre pays du fait du faible nombre de GBA vendu en France.
En 2003, la Game Cube va nous pondre Mario Kart : Double Dash, où le pilote se voit scotché derierre lui un autre personnage qui lui va balancer les carapaces et autres peaux de banane sur leurs malheureux adversaires.
En 2005, c’est au tour de la Nintendo DS d’entrer dans le marché du karting avec Mario Kart DS.
Et enfin, le tout dernier en date, Mario Kart Wii. Sortie en 2008, il fait encore évoluer la franchise avec la possibilité, entre autres, de piloter des motos, de conduire avec un volant …
Mario Kart est donc une série de jeu incontournable à tous possesseurs d’une console Nintendo. La seule chose que l’on pourrait dire dessus pour terminer et que ce jeu nuit gravement à l’ennui 😉

Evolution de la Grippe A en France et dans le Monde

Vous voulez suivre ‘en temps réel’ l’évolution de la propagation de la grippe A H1N1 en France, région par région, Google Flu Trend est là pour ça.

L’estimation de la propagation du virus se fait grâce au nombre de recherches effectués concernant la grippe A avec certains mots-clés.

Si l’on regarde la propagation du virus pour les Etas-Unis d’Amérique on peut avoir 2 hypothèses :
– Le virus est plus présent
– La population est plus inquiète
Quelle hypothèse est la meilleure selon vous ?

[Kitch] Sabine Paturel – Les bétises

Au menu de ce vendredi kitch, je vous propose en plat du jour le tube de Sabine Paturel : « Les bétises » sorti en 1986. Ce titre a ensuite été repris par Bébé Lilly en 2006.
Je ne sais pas vous mais je préfère l’original :

N’hésitez pas a lire les paroles, qui sont également d’époque :

 » J’ai tout mangé le chocolat
J’ai tout fumé les Craven A
Et comme t’étais toujours pas là
J’ai tout vidé le Rhum Coca
J’ai tout démonté tes tableaux
J’ai tout découpé tes rideaux
Tout déchiré tes belles photos
Que tu cachais dans ton bureau

[Refrain]
Fallait pas m’ quitter tu vois
Il est beau le résultat
Je fais rien que des bêtises
Des bêtises quand t’es pas là

J’ai tout démonté le bahut
J’ai tout bien étalé la glu
Comm’ t’étais toujours pas rev’nu
J’ai tout haché menu menu
J’ai tout brûlé le beau tapis
J’ai tout scié les pieds du lit
Tout décousu tes beaux habits
Et mis le feu à la pend’rie

Fallait pas m’ quitter tu vois
Il est beau le résultat
Je fais rien que des bêtises
Des bêtises quand t’es pas là
Fallait pas gâcher mon cœur
M’ laisser sans baby sitter
Je fais rien que des bêtises
Des bêtises quand mes yeux pleurent

J’ai tout renversé les poubelles
J’ai tout pillé ta belle vaisselle
Attends c’est pas tout à fait tout
J’ai aussi dépensé tous tes sous « 

[Rétro-Game] SimCity

Qui n’a pas rêvé un jour de devenir le maître du monde et de pouvoir tenir dans ses mains la vie et la destinée de nombre de personnes ? Vous l’avez demandé ? Will Wright l’a fait !

Alors que ce natif d’Atlanta développe un jeu d’hélicoptère, il prend tellement de plaisir à imaginer les villes en arrière fond, qu’il a l’idée de développer un jeu qui prendrais pour thème la construction et la gestion de villes entières. Et c’est ainsi que va naître SimCity. A l’époque, ce jeu est révolutionnaire. Outre d’être le premier du genre, il s’agit d’un jeu sans fin et où les scénario ne sont pas prévus à l’avance étant donné que chaque joueur va influer dessus et en changer à l’infini.

C’est en 1989 que le jeu arrivera sur le marché. Le but est simple, créer sa ville et la gérer en tant que maire. Vos administrés devront payer leurs impôts, et quant au maire, il se doit de réer les infrastructures qui permettront à sa cité de se dévelloper.

C’est la naissance d’une saga qui se verra décliner en plusieurs exemplaires et qui engrangera des millions de part ses ventes importantes.

Voici la chronologie de la saga (source Maxis) :

  • 1989, SimCity : jeu aux fonctions basiques (en 2D et 16 couleurs)
  • 1993, SimCity 2000 : apporte une 3D isométrique et des graphismes nettement améliorés avec l’apparition du relief.
  • 1999, SimCity 3000 : développement de nouvelles fonctions à gérer. Les assistants prennent une touche « cartoon » très sympatique.
  • 2000, SimCity 3000 (édition mondiale) : version agrémentée de styles architecturaux du monde entier, ainsi que d’un éditeurs pour créer ses bâtiments et scénario.
  • 15 janvier 2003, SimCity 4 : simulation plus poussée avec une gestion d’une région entière et l’interaction de plusieurs villes
  • 26 septembre 2003, SimCity 4 (Rush Hour) : disque additionnel orienté sur les transports, avec plus de modes de transport ainsi qu’une gestion du trafic et de ses heures de pointe.
  • 15 novembre 2007 : de SimCity Societies

Et voici l’évolution du logo du jeu au fil des années :

 
Beaucoups de City-Builder ont par la suite copié, ou se sont inspiré de SimCity comme notament la série des Caesar qui reprend les principes du jeu à l’époque de la Rome Antique, ou encore Pharaon qui comme son nom l’identique met en scène l’Egypte Ancienne. D’autres suivirent dans d’autres civilisations.
Plus récemment, le concept du jeu est devenu propriété publique (licence GNU GPL), ce qui a permis à plusieurs développeur de créer leur SimCity comme Lincity, ou encore Micropolis qui est LA version « libéré » de SimCity (le nom ayant été changé car il reste propriété de Maxis).